La trace est le témoignage d’un moment qui n’existe plus et qui va disparaître, un témoignage d’avoir existé.
Il est des silences qui disent l’absence, la violence, la révolte, le besoin de justice et de paix, le devoir de mémoire et l’envie de l’oubli et de pardon. Ainsi, Oradour-Sur-Glane, lieu de mémoire, le massacre d’une population innocente.
Je veux partager ce que, dans le silence et les ruines, crie ce lieu: la barbarie de la guerre, du terrorisme et d’une idéologie fanatique.
© Nicole Delhalle Tous droits réservés
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Les ruines se dégradent et la trace s’efface peu à peu, comme le deuil qui devrait enfin se faire, comme le souvenir qui devrait enfin s’estomper; ainsi les photos deviendront elles-mêmes traces.